À la rencontre du Costa Rica

Bien-être animal

Je sélectionne avec soin des prestataires touristiques engagés pour vous offrir des expériences authentiques au cœur d’une nature préservée, dans le respect absolu de la faune sauvage.

Bien-être humain

Vivez des moments de partage sincères en rencontrant les communautés locales qui œuvrent chaque jour pour un tourisme durable à travers des ateliers, échanges et activités à vivre ensemble.

Biodiversité préservée

Prenez part à la protection de la biodiversité en collaborant avec des associations locales pour préserver les forêts tropicales, les mangroves et les zones de ponte des tortues, véritables trésors du pays.

Le paradis vert

Petit par sa taille mais immense par sa richesse naturelle, le Costa Rica est un joyau d’Amérique centrale où chaque région révèle un visage différent de la biodiversité. 

Le Costa Rica est avant tout une terre d’équilibre, entre l’homme et la nature, entre modernité et respect des traditions. Dans les villages de montagne ou les lodges perdus au cœur des forêts, les habitants perpétuent un art de vivre simple et chaleureux, inspiré par la philosophie du Pura Vida, cette joie de vivre paisible et contagieuse. Ici, l’écotourisme n’est pas un slogan : il est devenu un mode de vie. Les fermes biologiques, les réserves communautaires et les parcs nationaux témoignent d’un engagement profond envers la protection de la biodiversité.

Chaque jour au Costa Rica est une rencontre : un toucan coloré qui traverse le ciel, un paresseux endormi entre deux branches, ou le rugissement lointain d’un singe hurleur qui résonne dans la canopée. Dans les eaux du Pacifique, des baleines à bosse migrent paisiblement, tandis que sur certaines plages, les tortues marines viennent déposer la vie sous la lune. Ces instants fugaces sont le cœur battant du pays.

Petit par sa géographie mais grand par son âme, le Costa Rica offre une expérience à la fois sensorielle et spirituelle. Entre forêts tropicales, volcans actifs et océans infinis, ce pays vous invite à ralentir, à écouter la nature et à redécouvrir la beauté du monde dans sa forme la plus pure, celle d’une terre qui a choisi de vivre en harmonie.

Les formalités

Mois coup de coeur

septembre-octobre

nature à son apogée (pluie), moins de touristes et observation faune sauvage

Passeport

Il doit être valide au moins 6 mois après la date d’entrée au Costa Rica.

Visa et formulaire d’entrée

Aucun visa nécessaire en dessous de 90 jours.

Santé

Pas de vaccin obligatoire

Avoir ses vaccins de base à jour (rappels inclus)

Monnaie locale
et Budget

colón costaricien
dollars américain acceptés

Environ 220€*/pers/jour
pour un voyage au Costa Rica

Visiter le Costa Rica

Tortuguero

Accessible uniquement par bateau ou petit avion, Tortuguero est un véritable sanctuaire naturel. Surnommé la “petite Amazonie du Costa Rica”, ce réseau de canaux, de lagunes et de forêts tropicales abrite une faune d’une richesse incroyable : caïmans, singes, paresseux et plus de 300 espèces d’oiseaux y trouvent refuge. C’est surtout l’un des sites les plus importants au monde pour la ponte des tortues marines, notamment entre juillet et octobre. Explorer Tortuguero, c’est s’immerger dans une nature brute et silencieuse, à bord d’une pirogue glissant sur les eaux calmes de la jungle.

Eviter cette période de janvier à mars, j’ai l’alternative qu’il vous faut.

La Fortuna / Volcan Arenal

Dominée par le cône parfait du volcan Arenal, cette région est l’une des plus emblématiques du pays. Autour de La Fortuna, les activités ne manquent pas : ponts suspendus, sources thermales naturelles, cascades, tyroliennes et sentiers de randonnée traversant la forêt tropicale. C’est une terre d’aventure et de détente à la fois, idéale pour combiner émotions fortes et bien-être. Les eaux chaudes jaillissant du volcan offrent une parenthèse de relaxation unique, dans un décor de jungle luxuriante et de montagnes enveloppées de brume.

Tenorio et le Río Celeste

Le parc national du volcan Tenorio cache l’un des joyaux naturels du Costa Rica : le Río Celeste, une rivière d’un bleu turquoise presque irréel, née de la rencontre de minéraux volcaniques. La randonnée qui mène à sa célèbre cascade traverse une forêt dense où vivent tapirs, singes et coatis. Moins fréquentée que d’autres régions, Tenorio séduit les voyageurs en quête d’authenticité, de nature intacte et de panoramas spectaculaires.

Monteverde

Perchée à plus de 1 400 mètres d’altitude, Monteverde est le royaume des forêts de nuages. Ici, la brume enveloppe les arbres moussus et les lianes, créant une atmosphère mystique. C’est un haut lieu de la biodiversité : on y observe le légendaire quetzal resplendissant, symbole du pays. Les ponts suspendus et les sentiers serpentant entre les arbres permettent de vivre la forêt d’une manière unique, entre aventure et contemplation. Monteverde est aussi un exemple fort de communauté engagée dans l’écotourisme, conciliant protection de la nature et accueil du voyageur.

Samara

Sur la côte Pacifique nord, Sámara offre un charme balnéaire paisible et familial. Cette baie protégée, bordée de cocotiers et de sable doré, séduit par son ambiance détendue et son authenticité. Le village conserve une atmosphère locale, avec ses marchés, ses pêcheurs et ses petits cafés en bord de mer. C’est l’endroit idéal pour se ressourcer, pratiquer le yoga, le kayak ou le surf dans une eau calme et tiède, loin de la frénésie touristique.

Manuel Antonio

Petit par sa taille mais immense par sa beauté, le Parc national Manuel Antonio est un concentré du Costa Rica. Forêt tropicale, plages de sable blanc et eaux turquoise s’y rencontrent dans une harmonie parfaite. C’est l’un des meilleurs endroits pour observer la faune de près : singes capucins, paresseux et iguanes évoluent librement autour des sentiers. Le village voisin, Quepos, propose une large offre d’hébergements et d’activités tout en gardant une ambiance conviviale. 
Le parc a su agir contre le tourisme de masse.

Dominical et Uvita

Un peu plus au sud, la côte pacifique se fait plus sauvage. Dominical attire les surfeurs du monde entier avec ses puissantes vagues, tandis qu’Uvita séduit par la beauté du Parc national Marino Ballena, célèbre pour sa “queue de baleine” visible à marée basse. Entre cascades cachées, jungle épaisse et observation des baleines à bosse, cette région incarne parfaitement l’esprit “pura vida”, celui d’une nature libre et d’un rythme apaisé.

Corcovado

La péninsule d’Osa et le Parc national Corcovado sont considérés comme l’un des derniers grands sanctuaires naturels de la planète. C’est un territoire d’une intensité rare, où la forêt tropicale primaire rencontre l’océan Pacifique. On y croise une faune exceptionnelle : jaguars, tapirs, aras, singes-araignées et crocodiles cohabitent dans une nature préservée. L’accès se mérite, souvent par bateau ou par randonnée, mais la récompense est à la hauteur : une immersion totale dans la vie sauvage.

Vallée de Dota

Nichée dans les montagnes de Talamanca, la vallée de Dota est un refuge de fraîcheur et de sérénité. Connue pour ses forêts de chênes et ses plantations de café de haute altitude, elle attire surtout les ornithologues et les amoureux de nature. C’est l’un des meilleurs endroits pour observer le quetzal, oiseau mythique des forêts nuageuses. Les petits villages comme San Gerardo de Dota offrent un accueil chaleureux et un cadre parfait pour la randonnée, la contemplation et le ressourcement.

Turrialba

Région agricole et verdoyante, Turrialba est dominée par le volcan du même nom. Elle est célèbre pour ses plantations de café et de canne à sucre, mais aussi pour ses rivières propices au rafting, parmi les meilleures du pays. On y découvre également le site archéologique de Guayabo, vestige fascinant de la civilisation précolombienne costaricienne. Turrialba incarne un Costa Rica plus rural, authentique et tourné vers la terre.

Puerto Viejo de Limón et Cahuita

Sur la côte caraïbe sud, Puerto Viejo de Talamanca et Cahuita dévoilent une atmosphère unique, empreinte de culture afro-caribéenne et de douceur tropicale. Ici, le temps semble ralentir, au rythme du reggae et des vagues. Les plages bordées de cocotiers sont parmi les plus belles du pays, et le Parc national Cahuita offre un magnifique récif corallien pour la plongée. On y savoure une autre facette du Costa Rica, métissée, colorée, insouciante et profondément attachante.

Le Costa Rica face au surtourisme

Les sites les plus emblématiques comme Manuel Antonio, La Fortuna/Arenal ou Monteverde sont des exemples les plus frappants. Leur popularité, amplifiée par les réseaux sociaux et les campagnes de promotion écotouristiques, entraîne une surfréquentation qui dépasse largement leur capacité d’accueil écologique. Dans le parc national Manuel Antonio, par exemple, la densité de visiteurs sur certains sentiers est telle qu’elle perturbe la faune locale : les singes capucins et les ratons laveurs, habitués à la présence humaine, modifient leurs comportements naturels et dépendent de plus en plus des déchets alimentaires laissés par les touristes. Aujourd’hui il est toutefois interdit d’entrer sur le site avec un pique nique.
À Monteverde, la circulation constante des groupes sur les passerelles suspendues et les chemins de randonnée accentue l’érosion des sols, perturbe les oiseaux et réduit la régénération naturelle de la végétation.

Cette pression humaine s’accompagne d’une production de déchets considérable, difficile à gérer dans des zones isolées ou dépourvues d’infrastructures adaptées. Malgré les efforts du pays pour limiter l’usage du plastique et renforcer le tri, de nombreux sites doivent encore faire face à des problèmes de gestion des eaux usées, de pollution des rivières et d’accumulation de détritus liés aux activités touristiques. Ces déchets, visibles ou invisibles, altèrent la qualité des sols et de l’eau, affectant directement les écosystèmes aquatiques et forestiers.

Parallèlement, la demande croissante d’hébergements et d’infrastructures entraîne une artificialisation progressive des paysages. Dans certaines zones jadis sauvages, les constructions hôtelières, parfois implantées sans étude d’impact suffisante, grignotent peu à peu les marges des forêts ou des zones humides. Cette urbanisation diffuse provoque une fragmentation des habitats naturels, limitant la circulation des espèces animales et perturbant les cycles écologiques. Les lumières artificielles, le bruit, l’augmentation du trafic routier et la pression sur les ressources en eau contribuent également à déséquilibrer les milieux.

Enfin, la quête de confort et d’accessibilité des visiteurs accentue ces impacts. Les routes ouvertes vers des zones autrefois reculées, les passerelles, les parkings et les activités motorisées modifient la physionomie des lieux et réduisent leur capacité à se régénérer naturellement. Le Costa Rica, conscient de cette contradiction entre préservation et exploitation touristique, tente de réguler ces flux grâce à des quotas d’entrée dans certains parcs et à la promotion de destinations alternatives moins fréquentées.

Cependant, ces efforts demeurent insuffisants face à la croissance continue du tourisme international. Sans une gestion rigoureuse des capacités de charge écologique et sans un rééquilibrage territorial du tourisme, le pays risque de voir son principal atout — la pureté de ses écosystèmes — s’éroder lentement. Le défi pour le Costa Rica n’est donc pas seulement d’accueillir durablement, mais de réinventer un modèle touristique qui protège autant qu’il valorise la nature.

Idée budget

Le tarif mentionné est une approximation et hors vols internationaux. Cela comprend les hébergements en petits déjeuners, quelques activités (avec ou sans repas selon les activités), les transferts et l’assistance locale francophone.
A noter que le tarif varie en période de haute saison et en fonction des options sélectionnées.