À la rencontre de l’Indonésie
Bien-être animal
Contribuez à la préservation de la faune sauvage en visitant des centres de réhabilitation et de sanctuaires éthiques : orang-outang, dauphins, etc…
Bien-être humain
Vivez des moments conviviaux avec la population locale, certaines rencontres vous marquent comme votre guide local.
Biodiversité préservée
Participez à la préservation de la biodiversité : activités respectueuses de la nature, rammassage des déchets, soutien aux initiatives locales de conservation
Le pays aux mille îles

Les formalités

Mois coup de coeur
juin
Les rizières sont encore vertes après les pluies, la fréquentation touristique reste modérée, et le climat est idéal pour explorer aussi bien les plages que les montagnes.

Passeport
Il doit être valide au moins 6 mois après la date d’entrée en Indonésie avec au moins 1 page vierge pour le tampon d’entrée.

Visa et formulaire d’entrée
Visa à l’arrivée (Visa on Arrival), délivré directement à l’aéroport ou en ligne avant votre départ.

Santé
Pas de vaccin obligatoire
Fortement conseillé : Hépatite A, B et Typhoïde
Traitement paludisme sur certaines zones éloignées.
Avoir ses vaccins de base à jour (rappels inclus)

Monnaie locale
et Budget
Roupie indonésienne
Environ 120€*/pers/jour
pour un voyage en Indonésie
Visiter l’Indonésie
Ce que je ne vends pas
La nage avec les dauphins à Lovina

Lovina est une petite station balnéaire située sur la côte nord de Bali. Elle s’étend le long d’une bande côtière aux plages de sable noir volcanique, bordées de palmiers et baignées par des eaux calmes. Le lever du soleil y est particulièrement célèbre : chaque matin, des dizaines de pirogues traditionnelles sortent en mer pour admirer l’horizon doré et tenter d’apercevoir les dauphins qui vivent au large.
Cependant, je ne proposerai jamais cet endroit très fréquenté et ni de nager avec les dauphins à Lovina, car cette activité perturbe gravement ces animaux sauvages. Les excursions touristiques les pourchassent, ce qui provoque stress, fatigue et désorientation. Ces pratiques modifient leur comportement naturel, notamment leurs cycles de repos et leurs habitudes de chasse. De plus, le contact direct avec les humains peut transmettre des maladies et fragiliser leur santé.
Vous l’aurez compris les interactions intempestives et multipliées agissent directement sur la qualité de vie de ces animaux allant jusqu’à les mettre en péril.
Les exploitations de café Kopi Luwak

Le Kopi Luwak, souvent présenté comme le café le plus rare et le plus cher du monde, cache en réalité une pratique profondément cruelle et contraire à l’éthique animale. Produit à partir de grains de café ingérés puis excrétés par la civette asiatique il repose aujourd’hui majoritairement sur une exploitation animale intensive, bien éloignée du mythe du café « sauvage ».
Autrefois, les grains étaient récoltés dans la nature, après que les civettes en liberté avaient sélectionné les fruits les plus mûrs. Mais la demande mondiale ayant explosé, la plupart des producteurs maintiennent désormais les animaux en cages exiguës, souvent sales et sans lumière, dans des conditions qui leur causent stress, blessures et malnutrition. Leur alimentation est forcée, leur comportement naturel supprimé, et beaucoup développent des troubles graves liés à la captivité.
Refuser de vendre ou de consommer du kopi luwak issu de cette exploitation est donc un acte éthique et responsable. Il s’agit de rejeter un système où le profit prime sur le respect du vivant, et de rappeler que le luxe ne devrait jamais se faire au détriment de la souffrance animale.
Le nourrissage d’animaux sauvages

À Ubud, notamment dans la célèbre Monkey Forest, les macaques sont devenus une véritable attraction touristique. Malheureusement, le fait de les nourrir perturbe profondément leur comportement. Bien que cela soit désormais interdit, au risque d’avoir une amende, de nombreuses personnes continuent cette pratique. Ces singes, naturellement sauvages, perdent peu à peu leur instinct de recherche de nourriture et deviennent dépendants des humains. Cela engendre des attitudes agressives, des bagarres entre groupes, et des risques sanitaires tant pour les animaux que pour les visiteurs (transmission de maladies, morsures, etc.).
De plus, la nourriture donnée par les touristes (bananes, chips, biscuits, etc.) ne correspond pas à leur régime naturel et peut provoquer des problèmes de santé : obésité, troubles digestifs, et carences. Les singes finissent par adopter un comportement de mendicité ou de vol, ce qui alimente une relation de peur et de tension entre eux et les humains.
En refusant de proposer le nourrissage des singes, je défends une approche éthique et respectueuse de la faune locale. Observer les macaques dans leur habitat naturel, à une distance raisonnable et sans interaction directe, permet de préserver leur bien-être et de garantir une expérience plus authentique et harmonieuse.
Idée budget
Le tarif mentionné est une approximation et hors vols internationaux. Cela comprend les hébergements en petits déjeuners, quelques activités (avec ou sans repas selon les activités), les transferts et l’assistance locale francophone.
A noter que le tarif varie en période de haute saison et en fonction des options sélectionnées.