À la rencontre du Kenya

Bien-être animal

Chaque rencontre avec la faune est pensée dans le respect des animaux, observés à distance en safari ou dans des sanctuaires. Les programmes de conservation permettent de sauver les orphelins, de réhabiliter les blessés et de préserver les espèces menacées, sans perturber leur comportement naturel.

Bien-être humain

Partagerz des moments authentiques avec les communautés locales. Les initiatives de tourisme durable soutiennent l’éducation, l’artisanat et l’emploi des habitants, en valorisant leur savoir-faire et leurs traditions. 

Biodiversité préservée

En choisissant des safaris et activités responsables, vous contribuez à la protection des habitats naturels et des écosystèmes fragiles. Chaque initiative, du suivi des espèces à la restauration des zones dégradées, participe à la sauvegarde de la faune et de la flore pour les générations futures.

La terre des grands migrants

S’étendant des confins tropicaux du Nord aux glaces éternelles de la Patagonie, l’Argentine est un pays d’une diversité exceptionnelle. Entre montagnes, plaines infinies, forêts luxuriantes et glaciers majestueux, elle offre un condensé des plus beaux paysages d’Amérique du Sud.

Au nord, les chutes d’Iguazú déploient leur puissance au cœur d’une jungle luxuriante, tandis que les vallées colorées de Salta et de Jujuy dévoilent un patrimoine culturel riche, hérité des civilisations andines. Plus au centre, Buenos Aires, la capitale cosmopolite, séduit par son énergie, son architecture européenne et son ambiance unique où le tango, la gastronomie et la passion du football rythment le quotidien.

Vers le sud, les vastes plaines de la Pampa laissent place aux montagnes de la Cordillère des Andes, aux lacs cristallins de Bariloche et aux glaciers impressionnants du parc national Los Glaciares, dominé par le célèbre Perito Moreno. À l’extrême sud, Ushuaia, la « fin du monde », ouvre les portes de l’Antarctique et promet des aventures inoubliables.

Aujourd’hui, le pays s’engage également sur la voie du tourisme durable, valorisant les initiatives locales, la protection de ses écosystèmes et le respect de ses communautés. Voyager en Argentine, c’est découvrir un territoire grandiose tout en contribuant à sa préservation.

Les formalités

Mois coup de coeur

juin-septembre-octobre

hors tourisme de masse

Passeport

Il doit être valide au moins 6 mois après la date d’entrée au Kenya

Visa et formulaire d’entrée

Visa à l’arrivée (Visa on Arrival), avant le départ via le site officiel du gouvernement kenyan. Le visa touristique est valable pour une durée de 90 jours.

Santé

Pas de vaccin obligatoire

Fortement conseillé : fièvre jaune, tétanos, diphtérie, hépatite A et B, typhoïde

Traitement paludisme sur certaines zones éloignées.

Avoir ses vaccins de base à jour (rappels inclus)

Monnaie locale
et Budget

shilling kényan

Environ 300€*/pers/jour
pour un voyage au Kenya

Visiter le Kenya

Nairobi et ses environs

Nairobi, capitale dynamique du Kenya, est une porte d’entrée idéale pour découvrir la faune du pays tout en restant en milieu urbain. Le Sheldrick Wildlife Trust accueille des éléphanteaux orphelins, souvent victimes du braconnage, qui sont élevés par des gardiens dédiés. Les visiteurs peuvent les observer lors de l’heure de nourrissage, tout en contribuant à la conservation.

Le Parc National de Nairobi, situé à quelques kilomètres du centre-ville, propose un safari court où l’on peut observer lions, girafes, zèbres et gnous dans un cadre semi-aride, idéal pour s’initier au safari sans partir loin. Plus au nord, la chaîne de montagnes d’Aberdare offre des randonnées dans des forêts denses, des paysages montagneux et des chutes d’eau. C’est un refuge pour léopards, lions et éléphants forestiers, avec des possibilités de trekking et d’observation ornithologique.

Nord-Ouest

Laikipia est une région sauvage avec de grandes étendues ouvertes, connue pour ses léopards noirs et sa faune diversifiée, notamment lions, girafes, éléphants et zèbres. La région compte peu de lodges, mais ceux qui existent offrent des expériences exclusives et luxueuses, souvent en harmonie avec l’environnement. Les safaris sont plus intimes, et la faible densité touristique permet une observation plus authentique de la faune. Laikipia est également un acteur clé de la conservation, avec des ranchs et sanctuaires privés qui travaillent pour protéger les espèces menacées et restaurer les habitats naturels.

Nord-Est

Cette région aride, avec ses rivières et points d’eau saisonniers, abrite des espèces uniques comme le zèbre de Grévy, la girafe réticulée et l’oryx de Somalie. Les communautés locales, comme les Samburus, ont créé des initiatives de conservation telles que le sanctuaire Reteti, qui sauve et élève des éléphants orphelins avant leur réhabilitation dans la nature. Les safaris à Samburu et Mairu offrent des rencontres avec une faune riche dans un paysage semi-désertique, avec peu de touristes, permettant une expérience authentique et moins perturbante pour les animaux.

Sanctuaires

Le Solio Ranch, situé au nord de Nairobi, est un sanctuaire spécialisé dans la protection des rhinocéros blancs et noirs. C’est un centre de conservation qui combine hébergement écologique et observation responsable des animaux.

Ol Pejeta Conservancy se distingue par son programme de protection des chimpanzés rescapés du Rwanda et de l’Ouganda. Ces chimpanzés, souvent maltraités ou orphelins, vivent en captivité pour leur sécurité. Ol Pejeta est également connu pour abriter les deux derniers rhinos blancs du Nord, ainsi que des lions, léopards, girafes, zèbres et autres herbivores. Les visiteurs peuvent participer à des safaris encadrés et soutenir directement les projets de conservation et la sensibilisation locale.

Vallée du Rift

Le lac Nakuru est célèbre pour ses flamants roses et sa population de rhinocéros noirs et blancs. Le parc autour du lac est en constante évolution à cause de la montée des eaux et des constructions alentour, mais il reste un lieu incontournable pour l’observation de léopards, babouins et girafes.

Le lac Naivasha, plus calme et moins fréquenté, est idéal pour l’ornithologie et l’observation d’hippopotames. Les balades en bateau sur le lac permettent de découvrir les îles, comme Crescent Island, peuplées de zèbres, gazelles et autres herbivores. Les initiatives de conservation se développent progressivement, comme l’utilisation du nourrissage de rapaces pour des fins pédagogiques, sans perturber la faune.

Sud et Sud-Est

Amboseli, au pied du Kilimandjaro, est célèbre pour ses éléphants évoluant dans des marais et points d’eau, offrant des paysages emblématiques avec le Mont Kilimandjaro en arrière-plan. La région abrite également une grande variété d’oiseaux et de carnivores. Les communautés locales travaillent avec les écolodges pour intégrer la conservation dans le tourisme et résoudre les conflits avec les éleveurs locaux.

Tsavo Ouest et Est

Ces parcs offrent de vastes espaces sauvages moins fréquentés, où l’observation de la faune est plus naturelle. Tsavo Ouest comprend la Taita Hills Conservancy, un exemple de collaboration entre ONG et communautés locales, avec des lodges sur pilotis comme The Salt Lick pour observer la faune autour des points d’eau. Les safaris permettent de voir éléphants, lions, léopards et hyènes dans un cadre préservé.

Côte kenyane et zones marines

La côte, autour de Diani et Chale Island, propose des plages idylliques et des lodges écologiques travaillant avec les communautés locales. Des programmes de conservation marine et de protection des singes colobes sont en place, avec la réhabilitation des animaux blessés ou victimes de collisions avec des véhicules.

Le nord de Mombasa, notamment le sanctuaire marin de Watamu, protège les tortues marines et permet de visiter les centres de soins pour les animaux blessés, souvent avec la participation de volontaires. Ces expériences allient observation et sensibilisation à la protection de la biodiversité marine.

Ce que je ne vends pas

Le masai mara

Au Kenya, je choisis délibérément de ne pas proposer certaines expériences qui risqueraient de nuire aux animaux ou de dénaturer le séjour.
Le Masai Mara durant les mois de juillet et août, par exemple, correspond à la haute saison touristique et attire un nombre de visiteurs bien supérieur à ce que le parc peut accueillir confortablement. Les sentiers et points d’observation deviennent alors saturés, ce qui non seulement réduit la qualité de l’expérience pour les voyageurs, mais provoque également un stress considérable pour les animaux. Les lions, éléphants et autres espèces emblématiques peuvent être dérangés dans leurs comportements naturels, pourchassés ou contraints de se déplacer loin de leurs zones habituelles. Les photographies deviennent moins authentiques et l’impression d’immersion dans la nature s’en trouve altérée.

Nager avec les dauphins à Diani

Cette activité, bien qu’attrayante pour les visiteurs en quête de sensations fortes, repose souvent sur des pratiques qui peuvent avoir des conséquences négatives importantes pour les dauphins et leur environnement. Pour obtenir une interaction rapprochée, les opérateurs peuvent suivre les animaux de manière insistante dans leur habitat naturel, les encercler ou même les stimuler par le bruit ou la nourriture. Ces interventions perturbent profondément leur comportement naturel : elles peuvent modifier leurs schémas de déplacement, interférer avec leur alimentation, leur reproduction et leur communication, et provoquer un stress chronique. Sur le long terme, de telles pratiques peuvent déséquilibrer des populations déjà vulnérables et affecter l’ensemble de l’écosystème côtier. La vie marine est fragile, et chaque espèce, des dauphins aux poissons et coraux qui les entourent, joue un rôle essentiel dans la santé et l’équilibre de l’océan. Interférer avec ces interactions naturelles peut donc avoir des répercussions bien plus larges que ce que l’on perçoit au premier regard.

Le giraffe manor

Cette activité, bien qu’attrayante pour les visiteurs en quête de sensations fortes, repose souvent sur des pratiques qui peuvent avoir des conséquences négatives importantes pour les dauphins et leur environnement. Pour obtenir une interaction rapprochée, les opérateurs peuvent suivre les animaux de manière insistante dans leur habitat naturel, les encercler ou même les stimuler par le bruit ou la nourriture. Ces interventions perturbent profondément leur comportement naturel : elles peuvent modifier leurs schémas de déplacement, interférer avec leur alimentation, leur reproduction et leur communication, et provoquer un stress chronique. Sur le long terme, de telles pratiques peuvent déséquilibrer des populations déjà vulnérables et affecter l’ensemble de l’écosystème côtier. La vie marine est fragile, et chaque espèce, des dauphins aux poissons et coraux qui les entourent, joue un rôle essentiel dans la santé et l’équilibre de l’océan. Interférer avec ces interactions naturelles peut donc avoir des répercussions bien plus larges que ce que l’on perçoit au premier regard.

Idée budget

Le tarif mentionné est une approximation et hors vols internationaux. Cela comprend les hébergements en petits déjeuners, quelques activités (avec ou sans repas selon les activités), les transferts et l’assistance locale francophone.
A noter que le tarif varie en période de haute saison et en fonction des options sélectionnées.